La grande aigrette, retour en automne
Jusqu’en 2016, la grande aigrette n’était pas nicheuse en Touraine.
Read MoreAmbiance de fin d’automne
En cette fin d’automne, les matins brumeux peuvent apporter de belles ambiances, cotonneuses les jours de brouillard.
Read MoreBrame 2015 – Suite
Si le brame se passe souvent à l’abri des regards, dans les profondeurs de la forêt, il est toujours possible, avec un peu de patience, de voir ou d’apercevoir les cerfs au détour d’un chemin ou d’un pare-feu.
Read MoreSeptembre: le brame, cuvée 2015
Et oui, avec l’automne arrive la saison des amours pour les cervidés, et plus particulièrement le cerf élaphe, roi incontesté de nos forêts.
Read MoreLe butor étoilé, un héron rare
La Brenne est un petit paradis pour les hérons. Certains sont assez communs comme le héron cendré, l’aigrette garzette, ou dans une moindre mesure le magnifique héron pourpré. D’autres sont beaucoup plus rares. C’est le cas du butor étoilé.
Read MoreEn Brenne, les grues cendrées (2)
Une petite suite, sans mon habituel bavardage, en images
Read MoreEn Brenne, les grues cendrées
En automne, il y a deux évènements que tout amoureux de la nature ne peut manquer sous aucun prétexte, à mon humble avis. Il s’agit du brame du cerf et de la migration des grues cendrées.
Les grues cendrées sont nicheuses dans les pays nordiques. Et dès le mois d’octobre, celles-ci entament leur descente vers le sud pour y passer l’hiver.
Brame 2014 – suite
Une petite suite de notre rencontre avec les cervidés de la forêt de Chinon durant ce début d’automne 2014.
Read MoreLe brame en forêt de Chinon en 2014
Si 2013 fut assez pauvre en matière de brame en forêt de Chinon, il n’en a pas été de même en 2014 avec une activité plutôt soutenue.
Read MoreLe retour du balbuzard pêcheur
L’an dernier, en passant le long de l’étang d’Assay, j’avais eu l’agréable surprise d’observer un balbuzard pêcheur en vol du saint esprit au dessus du petit étang côté pisciculture.
De retour à Assay il y a quelques jours, quelle ne fut ma surprise de voir passer devant moi un nouveau(?) balbuzard qui s’est posé tranquillement à 80 mètres de mon poste d’observation.
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